Flo au vietnam

26 juillet 2006

Bonheur et Cauchemar : 3 jours a moto dans les Hauts Plateaux

Raconter mon périple dans les hauts plateaux ne va pas être facile facile… Tant de choses à raconter, des milliers de détails que j’aimerais ajouter. Bref, je plante le décors :

J’arrive a Da Nang (centre du Vietnam) jeudi soir en avion, où m’attend Uyen, qui sera notre guide pendant le voyage. Il m’emmène en moto chez lui, où je prends un verre avec sa femme et ses enfants, ses voisins, bref toute la rue était là ! Sujet de conversation récurrent au Vietnam : le foot, et comme je suis Phap (française), c’est Zizou par ci et Zizou par là…une légende vivante.
Un des gamins, 4 ans, boit quelques gorgées de bière dans le verre de sa mère, sans faire la grimace. Il a l’air d’aimer ça car il en reprend – ça m’a un peu « choquée » de voir que ça faisait marrer sa mère qui au lieu de l’empêcher de continuer lui mettais le verre entre les mains. M’enfin… Petite ballade nocturne en moto avec Uyen, qui, comme tout bon Vietnamien est très fier de sa ville et tenait donc à me montrer Da Nang.
Hotel – dodo –



5h30 (am), le réveil sonne. 6h Uyen est là, on va prendre un café sua da (au lait concentré et glacé), et le petit déj sera un sandwich viande, pâtés, et sauce piquante. Huuu pour commencer la journée de bon pied !
Je passe les détails, on retrouve a l’aéroport la fine équipe avec qui je pars : 7 espagnols (Nadia, Felix, Ricardo, Alicia, Alberto, Pepa et Illa). Nadia, Felix et moi choisissons de conduire nous-même les motos, les autres (de passage au Vietnam) prennent des xe ôm. Les vietnamiens sont : Uyen (zeu boss), Anh, et euhhhh je me souviens plus des noms des 3 autres. A ce stade, on ne sait pas encore ce qui nous attend… si ce n’est 800 km à abattre en 3 jours.
8h30 (am) on est prêts à partir, sacs sur motos et casques sur têtes, la joyeuse bande s’en va (c’est toujours joyeux avec eux de toute façon, je commence vraiment à aimer les espagnols !).

(Nadia et Felix)

Itinéraire jour 1 : Da Nang – Kon Tum par la piste Ho Chi Minh, 300 km
Là c’est le début du bonheur. On traverse des paysages magnifiques sur une route en excellent état et déserte, rizières hautes (et donc super vertes), torrents, rochers, cascades, petits villages qui n’ont pas changé depuis des décennies, reliefs (montagnes pointues, collines toutes rondes). Et une végétation qui reste assez tropicale, luxuriante, même si mes connaissances en botanique sont assez limitées.
Toutes les nuances de vert sont là, du vert presque noir au vert presque jaune, on en prend plein les yeux. Je fais quelques tentatives de prise de photo en conduisant, mais comme je regardais + la route en tortillons que mon écran, c’est pas terrible. Je me suis arrêtée quelque fois pour quand même rentrer avec quelques photos correctes. Il fait super chaud, soleil de plomb.
J’ajouterai des photos dès que j’aurai récupéré celles de tout le monde, les miennes sont pas les meilleures.
(photo prise en conduisant)

(c'est mieux en s'arretant)

Pause déjeuner au milieu de nulle part, on mange du porc sauvage et du cerf ou sanglier, on a pas réussi à se mettre d’accord sur la traduction, c’est pas excellent. On teste le Cola Cola, expérience mémorable là aussi ! C’est dégueu n’ayons pas peur des mots. On veut aller au toilettes, mais où sont ils ?? La réponse est superbe : « The toilets are everywhere ! » avec un geste de la main montrant la belle nature autour.
On reprend la route, on fait un peu les cons à moto, et puis un petit vent frais se lève, et la pluie commence à tomber. On s’arrête a 3, on laisse les motos sur la route pour s’abriter sous des feuillages touffus dans l’espoir que ça va pas durer. Quelques minutes de répis, et ça repart de plus belle. On reprend la route malgré ça. Mais c’est parti pour un déluge qui va durer et durer encore. On est trempés jusqu’à la moelle car pas bien équipés pour la pluie, il fait froid.

On s’arrête dans un petit village nommé Dak Wak [photo de la maison communale :]
,on squatte chez un habitant pour changer de pantalon et mettre quelques épaisseurs en plus sur nous. Il reste 120 bornes à parcourir avant d’arriver à Kon Tum, il est déjà 16h30… Arrivés à 60km de là, c’est vraiment la merde. Il fait nuit et la route qui était si belle se transforme en un chemin pourri, de terre et de crevasse (presque des ravins en fait !), je conduis avec Nadia qui a une moto sans lumière (ou presque). On arrive a un point où ils construisent un chemin de fer, et la route devient très étroite. On fait face à 2 camions, et on n’a pas le choix de faire demi tour en catastrophe car il n’y a pas la place pour ¼ de moto à côté de ces énormes camions. Connaissant les chauffeurs vietnamiens, c’est un peu la panique, surtout qu’on est plus que toutes les 2, on a perdu les autres en route ! finalement on passe, et on retrouve les autres un quelques km de crevasses plus loin, on prend un thé chaud et c’est reparti pour…. Encore 40 bornes. Il nous aura fallut près de 2h30 pour faire 20 km tellement la route était mauvaise.
Il pleut toujours, on a froid, nos mains sont ridées par l’humidité (comme si on avait passé 5h dans un bain, imaginez la chose). Les bornes passent et le temps aussi. 22H30 : KON TUM !! Délivrance ! Libération ! Oh joie !! S’il vous plait une douche chaude et un thé brûlant !! On a tout ça, on peut aller manger un pho. On tombe sur les ‘bad boys’ du village qui devaient avoir pris des trucs… un peu lourds, surtout après quelques 14h de route, et sûrement 12h à conduire moto au total. Mais comme c’est une spanish team, on peut pas aller se coucher comme ça, non non non ! Alors c’est squatte dans une chambre, alcool de riz, alcool de banane et quelques bières. 2h du mat’, on pense à dormir quand même !
Dure journée… mais la route en valait vraiment la peine.

Itinéraire jour 2 : Kon Tum – Buon Ma Tuot par la piste Ho Chi Minh, 220 km
8h30 : réveil. Nos fringues sont trempées de la veille, même ce qui était dans nos sacs, la nui n’a pas séché grand-chose. Les chaussures pareils, et il pleut encore. On achète des sacs plastique pour protéger nos sacs, ptit déj et on repart. Les mines sont un peu plus déconfites que la veille à la même heure, mais le moral des troupes est quand même bon ! Moi entre temps j’ai chopé une bonne crève, stade angine.
Zou !
Le soleil arrive ! Crème solaire, t-shirts, la route est bonne, le paysage grandiose encore, terre rouge rouge, végétation bien verte, et villages sympas où les gens sont adorables et tout surpris de nous voir.
On arrive à Pleiku un peu dispersés. Je continue la route toute seule, pensant être la dernière pour m’être arrêtée mettre un pull et mon imper. Ben oui le soleil pouvait pas durer ! Je roule je pense quelque chose comme 1h, sans voir personne. Traversée de champs d’hévéas, de café… Mal aux fesses, il est temps que je fasse une pause ! J’arrive a Chu Xe. Humm, je finis donc par m’arrêter et oups j’ai 11 appels en absence. Ils sont tous à Pleiku et savaient pas où j’étais. Alors je les attends. Je papote avec une vendeuse de sandwich et sa copine marchande de fruits, enfin papoter est un bien grand mot, elles ne parlent pas un mot d’anglais. Et mon vietnamien étant loin d’être courant c’est pas gagné. Je deviens rapidement un point d’attraction, Chu Xe doit pas être très populaire auprès des touristes ! En plus si elle baragouine un peu en vietnamien, je suis encore plus une bête curieuse.
(La marchande de fruits)

Quelques fruits plus loin, mes compagnons de route arrivent. Enfin il manque Alicia et son chauffeur, qui ne répondent pas au téléphone, et personne ne les a vu depuis Pleiku, soit 2h + tôt. On s’inquiète un peu, mais il faut continuer, la route est encore longue. On s’arrête manger (il est 16h), et là les nouvelles : ils sont déjà arrivés à BMT… ils ne se sont pas arrêtés en chemin…
Pour nous encore une bonne centaine de km, pluie battante. On s’organise mieux en enfilant des impers plastiques par les jambes, je fais la connerie de pas fermer le mien comme il faut et en ¼ d’heure je deviens un sac d’eau ambulant… rrrr Nouvelle pause, changement de pantalon pour un autre humide mais pas trempé, et j’attache correctement mon le plastique cette fois !
Enfin on a toujours la chance de tomber sur des gens très accueillants qui nous prêtent leurs « salles de bain » pour nous changer, et faut dire qu’ils se marrent bien quand ils nous voient débarquer.
La galère continue jusqu’à BMT. On fini par y arriver où on retrouve Huê, qui est une copine vietnamienne de Saigon originaire de BMT, où sa famille tient un resto de lâu ca. (soupe de poisson).
Mon angine est devenue bronchite, et j’ai des coups de soleils sur le visage (une marque de lunettes un peu comme au ski), et sur les mains… j’avais mis de la crème solaire vietnamienne, je recommencerai plus ;-)
Hotel, douche chaude, sieste, et on va dîner chez Huê, il est 22h…
Après ce bon repas, on cherche une karaoké ouvert. Tout le monde vient, et franchement, c’est une bonne partie de rigolade (cf photos bientôt!). Retour hôtel et resquatte dans une chambre pour une dernière bière. Je suis définitivement malade !
Il est 3h, dodo.

Itinéraire jour 3 : Buon Ma Tuot – Nha Trang, 200 km + 60 km

Je suis malaaaade, c’est sûr. Fièvre en plus, pas beaucoup mais quand même. Il est tard aujourd’hui, 10h. Comme si 200 km à parcourir avec notre fatigue et toujours nos fringues mouillées ne suffisait pas, à 11h on se décide à faire un détour de 60 km pour aller voir des célèbres cascades (celles qui sont sur tous les posters kitch vietnamiens de 2m de long).
Pour y arriver, une fois les motos garées, c’est encore un peu le parcours du combattant. Heureusement il fait beau et chaud, on traverse des ruisseaux sur des pierres glissantes, on met les pieds dans l’eau, on en traverse un autre sur des rondins de bois pas très rassurants, et on arrive au but. Et là, petite déception. C’est sympa c’est sûr, mais on s’attendait à plus impressionnant, peut-être la fatigue et le reste on influencé nos jugements, je sais pas. Mais on a bien rigolé quand même sur le chemin qu’il faut bien sûr reprendre en sens inverse. On croise une liane sur laquelle on essaie de faire hmm ‘tarzan’ sans son cri. Ben c’est pas si simple !
(Nadia, derriere Felix et Hue)
On repart, je sens la fièvre monter, le vent se lève, et je crève mon pneu arrière, j’ai faillit tomber et déjanter car c’était une belle crevaison. Je commence à être à bout ! On rejoins nos potes à BMT qui attendent, on repart, j’ai faillit me prendre un minibus de pleine face. Un connard à moto veut subitement tourner à gauche, je l’évite de justesse mais j’avais pas vu le minibus qui arrivait en face. Pas le temps de me ranger à droite, je coupe la route par la gauche et me retrouve du mauvais côté. Hmm pfiou, petite sueur froide. On roule encore sous cette pluie que je ne présente plus, emmitouflés dans dans nos sacs plastiques de la tête aux pieds.
On passe un village, un 2ème, il est 15h, on s’arrête toujours pas. Je n’en peux plus. Finalement on s’arrête, il reste 120 km, et 3 d’entre nous ont un train à prendre à 20h30 à Nha Trang. Ça va être juste, vu le temps de chien et le reste. Je laisse ma moto à Huê (notre copine de BMT), et me laisse conduire par Felix. A l’heure qu’il est, je suis dans un brouillard de fièvre et gelée dans mes fringues humides. Après ¾ d’heure de route, ça devient dangereux. Le vent souffle très fort, ça devient difficile de tenir les motos. Felix, Nadia et moi nous arrêtons dans la première échoppe venue pour pas prendre de risque. Ils ont leur train à prendre, il est presque 17h et il reste pas loin de 100 km avant Nha Trang. A une moyenne de 30km à l’heure vu les conditions, ils commencent à plus tellement y croire !
Comme ça se calme on repart, moi toujours sur ma planète, déconnectée de ce qu’il peut arriver. Après une vingtaine de km, on tombe sur des paysages extraordinaires. Une multitude de montagnettes arrondies, toutes vertes d’une végétation luxuriante, à perte de vue. Une maison par-ci par-là, des villages d’ethnies minoritaires un peu plus loin, je profite de ma position de passagère pour en prendre plein les yeux. Mais que j’ai mal aux fesses en + ! en en passager j’ose pas bouger pour pas gêner Felix… Inutile de préciser qu’il fait nuit bien sûr. M’enfin il ne pleut plus. Nos vessies réclamant une pause, on s’arrête encore dans un petit village. Là c’est assez cocasse… Nadia commence par aller ‘au toilettes’, mais la femme de maison me prend par le bras pour m’y emmener aussi. En fait de toilettes, c’est juste un coin derrière la maison avec une plaque de béton et quelques trous pour hm évacuer ce qu’il faut. Donc on se retrouve Nadia et moi à pisser côte à côte presque sous les yeux de la brave dame. Au point où on en était, je pense qu’on en avait plus rien à faire, c’était même marrant. Et puis on prend un thé chaud, et on a droit à toute la famille autour de nous à nous regarder avec de grands yeux béats. Une des jeunes filles est admirative de nos jambes et yeux, et ne peux s’empêcher de nous toucher les mollets plusieurs fois. On doit abréger cette chaleureuse rencontre à cause du train, quelques photos, le thé nous est offert, quelques accolades et on s’en va sous fond de grands signes de la main, de sourires heureux de ‘bye-bye bye-bye !!’.
Ah la la… Beau pays ce Vietnam.
On arrive à la gare à 20h30 pour le train de 20h33… juste juste ! Mais pas de panique, retard de 1h (prévisible, on reste au Vietnam).
Soulagement, tout le monde arrive au compte goutte. Bières et clopes affalés par terre devant la gare, avec nos dégaines de vétérans…
Nos 3 amis nous quittent, et on emmène nos vietnamiens dans un resto italien, grande première pour eux ! C’était super sympa. L’un deux a même adoré les gnocchis au gorgonzola, ce qui est pourtant pas facile à manger pour un vietnamien. Les autres ont bien mangé, sauf le pauvre Uyen qui grimace entre chaque bouchée, surtout sur le vinaigre balsamique !
Puis on les emmène dans un bar bien « western style », avec des anglais gueulards, des ricains au billard et plein de gens disons un peu « ronds ». Expérience surprenante pour eux encore une fois !
Bon… ici s’achève le trip moto dans les hauts plateaux. Pas de plongée lundi matin comme c’était prévu, mon lit était le plus fort. Lundi à Nha Trang : levé à midi, ptit déj, massage d’une heure, plage, café et train… Pour arriver à la gare, un xe ôm m’a emmené, j’ai vite remarqué qu’il était tout bourré puant l’alcool et prenant un chemin bien trop long ! M’enfin j’y suis arrivée, le train avait encore 1heure retard. A peine arrivée dans le train, je me suis couchée et ai dormis jusqu’au petit matin, réveillée quand le train était déjà en gare et tout le monde en train de s’affairer autour de moi, il état 5h20 du mat’, j’ai pu dormir un peu encore en rentrant avant de me lever pour aller au boulot…

03 juillet 2006

Photo souvenir...un certain soir a saigon


c'etait il y a un mois... la derniere soiree de Martine (a gauche en bleu, faisant de la pub pout Tiger beer).

ici sont donc representes: Australie (x2), Hollande (x2), Espagne (x1), Suisse (x2) et France (x3)... le compte y est.

Je ne saurais dire ou c'est je ne m'en souviens plus, les soirees en general tournent autour d'une moyenne de 3 ou 4 bars...alors je pourrais pas dire ou a ete prise cette photo.

Bangkok stories...

Sawadee khaa !

Bangkok ou la Thailande... ou les Thai(e)s... Vraiment un endroit sympa. Meme plus que ca, l'accueil ici est d'une chaleur, c'est fou. De l'officer des douanes au chauffeur de taxi en passant par n'importe quelle personne que l'on croise, on se sent a Bangkok le bienvenu, on se sent tout de suite chez soi. Oui, Bangkok est un peu un autre chez moi.

Et puis quand on connait un peu le Vietnam et la culture locale, on voit tout de suite le fossé qui separe les 2 pays. Et pourtant, il n'y a que 750 km entre saigon et bangkok, (sachez que pres de 1800 km separent saigon de sa capitale hanoi). Differents bouddhisme (petit/grand vehicule), influences indienne d'une part, chinoise de l'autre, histoire passee et rencente qui n'ont rien a voir, tout est la pour que ces pays ne se ressemblent pas. Et c'est le cas.

Maintenant, Bangkok a des inconvenients majeurs: une superficie immense, une pollution idem (mal au crane tous les soirs, et pourant je vis a saigon...). Le metro (MRT) et le skytrain (BTS) sont de supers moyens de transport, mais qui doivent encore etre elargis (la c'est concentre sur l'epicentre de la capitale et le nord pour rejoindre le gigantissime marche 'Chatuchak ').

Donc, je logeais dans un appart dans le quartier Sukumvit, un sympathique 2 pieces au 18eme etage d'une tour 2 fois + haute. Avec vue sur ca:

de nuit


de nuit


de jour


Proche MRT et BTS, jus d'orange frais tous les 30m, tuk tuk, traffic, khlong (canal => bkk est aussi la venise d'asie...). Gardiens tres sympa avec qui je faisais un brin de causette en rentrant.
Samedi matin, marche Chatuchak, le plus grand de Thailande, peut-etre bien le plus grand d'Asie du sud-est. On trouve tout. Tout tout tout, et il est impossible a la fois de ne pas s'y perdre et d'en voir le bout, il faudrait bien 2 jours pour voir chaque etal. J'y ai passe 3 ou 4 heures, avec dejeuner sur place (comique d'ailleurs, sous un parasol dans une allee, entouree de murs de pluie de chaque cote...)

Apres-midi 'errance' vers Siam, Silom et Saladeng (differents quartiers), cafe avec un vieux irlandais qui ne parlais que foot.
Boui-boui de nourriture, je trouvais ca joli (mais je n'ai pas goute, j'aurais du!), et occasion d'une discussion sympa avec une cliente de l'echoppe, qui etait tres etonnee de ma photo!!



Puis direction le night market... moins grand que Chatuchak mais je le prefere. L'ambiance est sympa, les produits supers, et il y a un espace pour manger grand comme un stade de foot, avec de chaque cote des stands de nourriture (thai of course), de jus de fruits, bieres... (la Singha ici), des dizaines et des dizaines de tables, et pour couronner le tout, une scene ou s'enchainent des groupes thais + ou - en vogue (plutot une scene decouverte je pense). Mais pour l'occasion, les pauvres musiciens avec pour arriere plan un ecran geant diffusant le foot. 95% de thais dans ce lieu, sympa aussi. On mange y tres bien et pas cher, et on se sent (encore une fois) tres a l'aise et comme chez soi.





Soir a la maison, j'ai commence un livre qu'il y avait la-bas 'Le portail' de Francois Bizot, que je conseille a tout ceux qui ont un minimum d'interet pour le Cambodge et la tragedie Khmere rouge. J'ai pas eut le temps de tout lire vous pensez bien, mais le debut etait tres bien. Bien ecrit et recit qui vaut le detour je pense.

Dimanche trop court... retour autour de Lumphini park, Saladeng, maison, aeroport, massage avec les qq baths qui me restaient (je confirme la qualite des massages thais d'ailleurs !!!), avion, saigon, maison....rangement, diner, verre avec gerome (mon voisin bientot plus voisin, il repart a nha trang).

End of Bangkok story... next week-end might be away again, you'll see!

Cheers..............